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Journal de prospectionPlacier alluvionnaire

Exploration d’une rivière en montagne, située entre 2 mines antiques (cuivre et blende)

Ce samedi 23 septembre, nous partons à la découverte d’un nouvel endroit, situé entre 2 mines, l’une de cuivre à 500 m et la seconde à 3/4h de marche plus haut, de blende (sulfure de zinc).

Toutes deux en Pays Couserans en Ariège, celle de cuivre était jadis exploitée dans l’Antiquité par les Euskes, les Celtes et les Romains tandis que celle de zinc plus récemment ; pour des raisons de préservation de ses endroits magnifiques de la folie des hommes, je ne divulguerai pas les noms de celles-ci, ni les localités précises.

Nous avons choisi cette zone géographique pour son passé minier historique, pour les données de SIG Mines intéressantes, et pour la présence de roches oxydées et métallifères avérées.

C’est la première fois que nous venons prospecter ici l’Orpailleuse Mystère et moi, nous découvrons les lieux et nous ne savons pas du tout s’il y a de l’or, mis à part dans certains textes et récits ou recoupements de données du BRGM.

Nous nous hâtons donc de nous préparer pour une session piknic/orpaillage en amoureux et investissons les lieux avec notre matériel de prospection, pour nous affairer à remplir nos pans et laver.

Nous avons divisé la session en 2 sites de prospections différents, situés à 250 m l’un de l’autre, et effectué en tout 4 prélèvements différents.

Date de publication: 23 septembre 2019

Auteurs: Vivien Laïlle & Christine Rives

Contact: vivien.laille@gmail.com – +33 (0)6 95 34 35 45

SOMMAIRE:

Introduction

L’or est présent, en général dans les gîtes métallifères de minerais de fer, de plomb, de zinc, d’argent, de nickel, de cuivre, ou d’antimoine ; les prospecteurs recherchent ces type de terrains en priorité.

L’observation des galets et roches de la rivière permet d’établir le caractère de la rivière, dont différents indices tendent à penser que la zone est aurifère.

Ayant auparavant réalisé des recherches littéraires, historiques, géologiques (BRGM), nous avons voulu tester un endroit doté apparemment d’un très fort indice de présence d’or, avec un gros passif minier remontant depuis l’Antiquité et aux premières civilisations Pyrénéennes et dont la plupart des visiteurs n’en soupçonnent pas l’existence.

Nous souhaitions donc confirmer cela par nos propres tests de prospection.

Spécimens observés

Là encore des belles paillettes ont été trouvées, avec la présence d’un magnifique grain d’or de 2 mm de long, une belle trouvaille, faite par l’Orpailleuse Mystère! Félicitation!

Un grain d’or fin, bien visible, se révèle au fond du pan, une trouvaille qui confirme bien la présence d’or dans cette rivière.
Un gros plan, en micro-photographie, sous microscope, met en valeur un très beau grain d’or fin et pur. Il mesure un peu plus de 2 mm de long. Un beau spécimen d’or de rivière des hautes montagnes. Il à été trouvé sous des gros galets.

Ci-dessous: d’autres spécimens de paillettes d’or mise en exergue ce jour là. A qauche: 3 paillettes d’or détritique dont 2 aplaties et en forme de flaques et 1 en mini grain. A droite: une paillette d’or electrum de couleur gris, cristallisé et dendritique, aux bords irréguliers, de l’or précipité avec un alliage naturel d’argent.

D’autres paillettes d’or ont été trouvées durant cette journée d’exploration et de prospection aurifère, qui confirment et valident l’intérêt de cette rivière et de cet endroit.

Observations préalables

Je souhaite tout d’abord apporter quelques précisions utiles sur les caractéristiques géologiques de cet endroit.

Données BRGM: présence de quartzites, schistes du Dévonien, du quartz, du conglomérat, de la breccia, de la blende (sulfure de zinc), du cuivre aurifère (chalcopyrite, pyrite cuivreuse), de la galène (sulfure de plomb argentifère).

Les affleurements: beaucoup d’affleurements oxydés sont visibles, avec des oxydes rouges, ocres, très schisteux. L’endroit est très minéralisé cela n’en fait aucun doute, les couleurs des roches le montrent bien. Il y a des bedrocks de conglomérats et d’ardoises très noires.

Le biotope: l’endroit est sauvage, préservé, humide et humique, riche en végétations, mousses, racines, arbres, fougères, plantes,… et champignons. Il y a dans le coin beaucoup de chercheurs de champignons (girolles,…), c’est un milieu fongique avéré composé de nombreuses espèces de champignons,.

Données littéraires: des témoignages confirment la présence d’or dans cette rivière.

Données SIG Mines: l’indice d’or est apparemment très élevé si on lit les données, mais il faut vérifier, il semble qu’il y ai des concentration là-bas, y compris des indices de prélèvements positifs avérés par le BRGM.

Exemple d’un bel affleurement oxydé ocre dont je vais m’empresser de tester le présence d’or dans les prochaines semaines, situé à 250 m d’une mine de cuivre aurifère (selon la tradition) antique et oubliée. Seuls les anciens et les locaux en connaissent l’emplacement exact.

Le caractère de la rivière et du terrain

Le caractère de la rivière et du terrain, une belle expression, entendons par là l’éventail des roches et des galets présents et charriées par la rivière, je le nomme ainsi dans mes prospections.

De son caractère, nous allons définir son tempérament: est-il plutôt acide ou basique? Est ce que le milieu est plus ou moins métallifère? Il y a t’il beaucoup d’oxydo/réduction constaté?

Cela regroupe des indices à relever en observant la rivière et ses environnements immédiats: bedrock, quartz, hématites, schistes,…

Pour comprendre le caractère de la rivière, il faut bien observer les roches et les affleurements, ainsi que la configuration et l’agencement des lieux.

Parmi les principales roches acides, on peut citer :

  • les granites ;
  • les microgranites ;
  • les porphyres ;
  • les ponces ;
  • les aplites…

Parmi les roches basiques se trouvent :

  • les basaltes ;
  • amphiboles;
  • ophiolites;
  • pyroxènes;
  • les gabbros ;
  • les phonolithes…

Il faut aussi avoir le réflexe d’observer la flore, les plantes, les algues, ou les essences d’arbres, à proximité immédiate de la rivière, car ils peuvent être d’excellents indicateurs de pH des sols ou de la rivière.

Liste des plantes et des arbres préférant les sols acides: https://www.plantes.ca/groupes/sol-acide-neutre.html

Liste des plantes et des arbres préférant les sols alcalins ou basiques: https://www.plantes.ca/groupes/sol-alcalin.html

Je vous laisse méditer les écrits de Georgius Agricola, un ingénieur des mines du Moyen Age, qui décrit dans son manuel des mines et des technologies minières de son époque, concernant l’observation des arbres et de leurs feuilles en prospection:

… Car un mineur doit avoir la plus grande habileté dans son travail, afin de savoir tout d’abord quelle montagne, quelle vallée ou quelle plaine, peut être le plus rentablement prospectée, ou ce qu’il devrait laisser seul (…) Il existe enfin des arbres dont le feuillage au printemps a une teinte bleuâtre ou plombée, les branches supérieures étant plus particulièrement teintées de noir ou de toute autre couleur artificielle, les troncs sont fendus en deux et les branches noires ou décolorées.

Georgius Agricola De re metallica, 1494-1555 – Texte traduit de l’original ici, datant de 1556.

Si le sol est argileux, il est forcément acide. Les orties démontrent la présence d’azote. Les fougères, même si leur domaine de prédilection est l’acidité ce ne sont pas des bons marqueurs parce qu’elles poussent aussi très bien en milieu calcaire.

Du bedrock accessible, un chaos de gros rochers, un lit primaire et secondaire, des racines. Cet endroit mérite d’être testé, il y a des éléments lourd, des creux, des obstacles. Il y a eu du grabuge ici, le chaos est très visible, et des traces d’érosions de crues successives. Beaucoup de regroupements de dépôts de gros galets. Des très gros blocs de conglomérats sont visibles aussi.
Du quartz, du grès, de la quartzite, des oxydes, de l’ardoise noire pyriteuse, du marbre oxydé avec des concrétions, des schistes oxydés altérés, du calcaire. Des indices très prometteurs dans le cadre d’une recherche aurifère. Il y a aussi une bille d’hématite noire.
De l’ardoise noire pyriteuse, avec une veine de pyrite bien visible ici, indice de présence sulfure de fer. Ce spécimen provient d’un galet d’ardoise noire et ocre, oxydée, ce bloc a été prélevé au marteau de géologue. Voici la coupe en tranche de la partie clivée.

J’ai publié récemment une étude sur l’ardoise aurifère locale, en Couserans.

Il faudra broyer ce bloc d’ardoise noire oxydée et le tamiser pour voir et vérifier la poudre contient de l’or fin.

En effet, la pyrite (sulfure de fer) est souvent associée à l’or dans la nature, la quantité d’or est proportionnelle à la quantité de pyrite, seulement, il faut les différencier, par densité.

De la pyrite observée dans de l’ardoise noire oxydée. Vue détaillée. La pyrite contient de l’or dans la nature. Il faut juste savoir les séparer et les isoler par densité. Il y a la technique du tapotage pour cela, au pan.

Ayant trouvé de l’or en paillette dans des ardoises bleues/noires avec pyrite, le fait de trouver ce spécimen dans la rivière est très bon signe.

Une sorte de grès oxydé, de la quartzite je pense, assez friable au marteau de géologue. L’extérieur est oxydé et l’intérieur est blanc. La quartzite et l’or s’entendent bien.

La quartzite oxydée est aussi un excellent indice, c’est une roche qui est souvent aurifère, comme le grès.

Du quartz fumé oxydé, un indice essentiel en prospection aurifère. Le quartz est le meilleur ami de l’or, surtout le quartz fumé, oxydé, avec des impuretés et des inclusions. Le quartz blanc pur ou transparent est en général stérile.

Pour qu’il y ai de l’or, il doit y avoir du quartz oxydé et fumé, indice de filon quartzeux, pouvant probablement contenir de l’or primaire d’origine hydrothermal.

De la roche altérée et oxydée, schisteuse et très friable. La présence de rouge est un marqueur de réactions chimiques d’oxydo/réduction.

Les schistes oxydés ocres et très minéralisés, très altérés et très friables sont de très bons indices aussi dans la prospection aurifère, signes d’activités d’oxydo/réduction et de weathering.

Matériel utilisé

Pour cette session orpaillage, nous avons utilisé le matériel suivant:

  • 2 pans américains propres et lavés,
  • 1 tamis large maille < 5 mm, ou chinois,
  • 1 marteau de géologue,
  • 1 kit spécial riffles et failles,
  • 1 petite pioche,
  • 1 petite pèle,
  • 1 pipette propre,
  • 1 cuillère à soupe,
  • 1 cuillère à café,
  • Flacons propres,
  • 1 microscope binoculaire.

Méthodologie de travail

Pour ces études, nous avons prélevé des alluvions avec un marteau de géologue, et une petite pioche, et une petite pèle.

Nous avons rempli les pans pour les laver ensuite dans la rivière, en faisant attention de bien débourber ; certains pans ont été tamisés d’autres non.

Tous les concentrés ont été prélevé à la pipette, et placés dans des éprouvettes en plastique propres et étiquetées.

En moyenne, 2 pans successifs ont été effectués, par endroit de prélèvement.

Les concentrés de sables noirs ont pu être observés séparément au microscope binoculaire.

Site de prospection n°1

Le site de prospection n°1 est une sorte chaos de gros rochers et de bedrock rocheux.

Des gros rochers et du bedrock, un bon endroit pour chercher de l’or.
Une autre vue coté aval du site de prospection.

Zone de prélèvement n°1 – site n°1: le trou dans le conglo

Le prélèvement n°1 du site n°1 sera réalisé dans une marmite d’un gros bloc de conglomérat.

Un trou dans un gros rock de conglomérat, visible au centre de l’image. Le trou mesure 60 cm de diamètre et 40 cm de profondeur.
J’ai vidé complètement le trou pour arriver au bedrock, c’est une vraie marmite, en cas de crues importantes, ce type de placier peut jouer un rôle de concentrateur de matériaux lourds, par effet venturi. L’endroit est sec, et le fond du trou, très oxydé, altéré et ocre. J’ai procédé à 2 lavages successifs au pan.

Zone de prélèvement n°2 – site n°1: en aval du gros bloc sur bebrock

Le prélèvement n°2 du site n°1 sera effectué en aval, au pied du gros bloc de conglomérat, dans l’alignement du chenal.

Du bedrock de conglomérat, nous avons choisi d’explorer le tas d’alluvions en aval au pied dans un creux (là où les graviers ont été un peu retournés). On voit bien sur cette image l’alignement avec le fond, en cas de crues importantes. Nous avons choisi cet endroit parce que c’est une zone de turbulences
L’amas de graviers et d’alluvions en aval du gros bloc de conglomérat rempli un creux, pour atteindre facilement le bedrock. Nous regroupons les matériaux pour les placer dans un tamis avec le pan en dessous ; l’ensemble sera lavé par la suite.
Il faut bien récurer le fond, qui présente des aspérités, des creux.
Le contenu a été débourbé et classé au tamis, et les sables lavés au pan.
2 lavages successifs ont été réalisés ici au pied de ce gros bloc de conglomérat.
L’ensemble des concentrés ont été récupérés dans des éprouvettes en plastique grâce à une pipette.

Site de prospection n°2

Le site de prospection n°2 est situé à 250 à 300 m en aval, jute après une jonction entre 2 rivières de montagnes.

Nous avons choisi un autre chaos, un peu tumultueux, il y a eu du grabuge ici aussi, des crues ont été violentes, et les eaux sont montées haut.

Des indices montrent que des crues sont passées par ici par le passé, avec des déjections.
Une autre vue: beaucoup de conglomérats oxydés et de chaos de graviers et de gros rochers roulés.

Zone de prélèvement n°1 – site n°2: sous un chaos de galets

Le prélèvement n°1 du site n°2 a été réalisé sous un chaos de galets.

L’Orpailleuse Mystère a raclé les alluvions et graviers sous les galets, pour remplir 1 pan.

Les plages de gros galets fonctionnent comme un système passif de moquette avec grille et étaux, c’est pareil, il faut donc chercher et bien récurer sous les gros rochers.
Récupération du concentré de sables noirs du fond de la batée avec une pipette. Différencier les concentrés est peut être long, mais les enseignements et la précision des données récoltées sont plus fiables et plus précis.

Zone de prélèvement n°2 – site n°2

Le prélèvement n°2 du site n°2 a été effectué en aval d’un gros rocher.

En aval et en dessous d’un gros rocher de conglomérat de 2 m de diamètre.

Résultats

Résultats zone de prélèvement n°1 – site n°1

4 paillettes d’or ont été trouvées dans le prélèvement n°1 du site de prospection n°1.

Un beau grain d’or fin de 0.3 mm de diamètre environ.
Spécimens trouvés dans la marmite dans le gros rocher. Très petits, de l’ordre de 0.2/0.3 mm de diamètre. Un grain d’or fin et 2 paillettes plus aplaties, de l’or détritique alluvionnaire.

Résultats zone de prélèvement n°2 – site n°1

2 paillettes d’or ont été trouvées dans le prélèvement n°2 du site de prospection n°1.

Résultats zone de prélèvement n°1 – site n°2

2 paillettes d’or ont été trouvées dans le prélèvement n°1 du site de prospection n°2.

Ci-dessous: une paillette d’or électrum, alliage d’or et d’argent naturel, ici en cristallisation dendritique.

Résultats zone de prélèvement n°2 – site n°2

Aucune paillette n’a été révélé dans le prélèvement n°2 du site de prospection n°2.

Palmarès des résultats

  • Site 1 – prélèvement 1 (le trou dans le bloc de conglomérat): Qté 4.
  • Site 1 – prélèvement 2 (le trou en aval): Qté 2.
  • Site 2 – prélèvement 1 (sous le tapis de gros galets et rochers): Qté 2.
  • Site 2 – prélèvement 2 (sous un gros rocher et en aval): Qté 0.

Le trou dans le conglomérat a été l’endroit le plus aurifère, démontrant le plus de paillettes.

Le site 2 – prélèvement 1 a révélé le grain d’or le plus gros pour cette session, soit un record de 2 mm de long.

Conclusions

Un nouvel endroit aurifère à explorer, nous sommes ravis, et nous pensons y retourner très prochainement, pour y faire d’autres essais et recherches.

L’endroit est sauvage et ces heures passées dans la nature sont bénéfiques pour le corps et l’esprit.

La journée a été riche en enseignements car nous découvrons des terrains rocheux avec bedrock, nous avons donc besoin d’accéder à différents endroits pour explorer: les failles, les marmites, les creux et autres zones de turbulences.

Je pense aussi réaliser prochainement cet hiver quelques essais de concassages de certains spécimens rapportés, pour vérifier s’il contiennent de l’or.

Références

Je dois compléter les références avec des vidéos complémentaires: c’est en cours.

Thèses

Livres

Orpaillage et géologie:

  • A. Lacomme, Étude minéralogique des dépôts aurifères, de l’Ariège au Salat, dont le résumé est ici et sur WorldCat
  • Le livre sur l’orpaillage de P. Proust, datant de 1920, intitulé Prospection, gisements, extraction de l’or, des éditions Gauthier-Villars et Cie. Livre disponible ici.
  • Le livre français édité par le BRGM et écrit par Christian Guiollard, et intitulé le Guide pratique du chercheur d’or en France, cet ouvrage est une référence. Il y a un large chapitre de cours sur l’or alluvionnaire. Je vous recommande tous les livres de cet auteur qui est aussi historien des mines d’or française. Livre disponible à l’achat sur le site de la Fnac.

Histoire & archéologie (Ariège):

  • Premier mémoire sur l’or retiré de l’Ariège, de DIETRICH (DE) Baron, des éditions Lacour Rediviva. Disponible ici.
  • Ariège – Pyrénées MUSSY (M.), 1864 – Gîtes métalliques du Saint-Gironnais, Pages 80, 81, 82,83, disponible ici.
  • Les ressources minérales de l’Ariège de M. MUSSY, 1ère et 2ème partie, disponibles ici et ici.
  • Au Pays des Hommes et du Fer, le livre intitulé Richesses et exploitations minières en Ariège, Tome 1 et Tome 2, du géologue Henri Tabarant. Il sont devenus introuvables.
  • Etudes historiques sur l’ancien pays de Foix et le Couserans, de Adolphe Garrigou, 1856, des éditions Lacour Rediviva. Disponible ici.
  • Etudes historiques sur l’ancien pays de Foix et le Couserans limites de l’ancienne Aquitaine et de la Province Romaine du temps de Jules César, de Adolphe Garrigou, 1856, des éditions Lacour Rediviva. Disponible ici.
  • Vallées ariégeoises avant l’invasion romaine, de Adolphe Garrigou, 1856, des éditions Lacour Rediviva. Disponible ici.
  • Le gisement et le traitement direct des minerais de fer dans les Pyrénées & l’Ariège (Ed 1843), Hachette Livre, BNF, de Jules François.

Web

* Il y a de l’or ici?

NB. Pour des raisons évidentes de préservation des lieux sauvages et des biotopes, je ne divulguerai pas les localisations précises de mes recherches. Car je tiens à conserver en l’état et à l’abris des curieux, des touristes, des fâcheux, de vénaux ou des mercantiles ses endroits magnifiques et magiques.

Si vous orpaillez, rebouchez vos trous! Ne laissez aucune trace visible de votre passage!

Copyrights Vivien Laïlle, Copyright Goldsnoop.com 2019, droits réservés.

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